Mittwoch, den 22. Juli, 2009.
Vanessa (mon vélo) voit du paysage. Enervé de ne pas trouver un trajet à ma convenance (c’est à dire un chemin où y a pas environ 2747m de dénivelé cumulé), je change chaque jour de chemin. En effet, le quartier où j’habite (cf futur article), nommé Gonsenheim, est situé dans les hauteurs. Si le chemin “Piéton” Cité-U => Taf que j’avais préparé sur Google Maps est probablement le plus court en distance, il ne l’est pas en temps. Car M. Google ne prend pô du tout en compte l’altitude.
Résultat des courses, je me retrouve à monter, descendre, monter, descendre, ménageant d’une part ma capacité à avoir une descendance (apparemment), et augmentant de fait, ma consommation de céréales le matin, effort oblige.
Rien de concluant pour aujourd’hui, on verra demain.
Mais si mes gibolles se reposaient sous mon bureau au premier étage (1. Stock) du 20b Dagobertstraße (rue Dagobert :-)), mes yeux, quant à eux, ont travaillé toute la journée.
Oui, certes, un peu d’ordi, faut bien… Mais mieux ! Je me suis retrouvé à vendre des tickets pour la Mediziner Party de demain, et à Mayence comme à Dijon, ce n’est pas en médecine que l’on trouve les filles les plus moches ;-) Donc grosso modo l’après midi a consisté en un défilé de blondes (avec malheureusement, parfois, des blonds accompagnant les-dites blondes… mais que pouvais-je y faire…).
Peut-être que c’est à cause de ces jeunezéjolies jeunes filles que j’ai mal aux yeux… éblouissement… peut-être aussi, que c’est elles qui me rendaient timide et me donnaient l’impression de n’avoir étudié l’allemand que pendant 6 mois, ne sachant sortir que des mots en –ieren (interessieren, reparieren, existieren, demerdieren…) et autres mots très évolués tels que “ok”, ou “ha” ou “hi”.
Bon, il me reste 3 semaines et demie pour me remettre de mes émotions et pour apprendre la langue… Pas de Mediziner Party pour moi ce soir : y semblerait qu’on n’ait pas besoin de moi. Je crie au complot, mais personne ne m’écoute.
:(

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